Christian Vivanco nous présente sa dernière collection de luminaires – intitulée LIGHTHOUSE et éditée par Luz Difusion – qui comprend une lampe, un lampadaire, et une applique, au design inspiré des années 60…
La famille de luminaires LIGHTHOUSE développe un style très caractéristique des années ’60.
La combinaison du blanc avec du bois rend ce modèle très actuel. Le câble est glissé tout le long d’un sillon situé à l’arrière.
Les parties métalliques retiennent celles en bois. L’écran en méthacrylate est blanc, translucide et léger. Sa forme rectangulaire est adoucie par des angles arrondis.
L’ensemble est fixé par des vis chromées de large diamètre, comme celles utilisées habituellement pour le mobilier. La base est découpée au laser et le profil correspond aux dimensions de l’abat‐jour.
Matière: métal et bois de chêne. Finitions: blanc (métal) et vernis naturel (bois). Abat‐jour de méthacrylate blanc.
English version :
The LIGHTHOUSE family develops and evolves a characteristic style of the sixties. The combination between white and wood gives an air of renovation, timeliness and relevance. The cable slides along a groove on the back. The metal parts join both wooden pieces. The shade of perspex is white, translucent and light. Its shape is rectangular with rounded corners. Everything is fixed with wide diameter screws in chrome finish originally used for furniture. The base is made of laser cut metal and its design follows the shape of the shade.
Material: metal and oak. Finishes: white (metal) and natural varnish (oak). White perspex shade. Diffuse light.
En savoir + sur Christian VIVANCO
Très simple, mais classe…
il futto del compromesso …
Je viens de lire cela dans RDD…..Comme j’ai bien lu Peter Sloterdijk( immense philosophe et essayiste allemand,professeur de philosophie et d’esthétique à la Hochschule für Gestaltung de Karlsruhe, également recteur du même établissement et prof aux Beaux-Arts de Vienne) je ne cite pas son nom et remplace son pseudo par une lettre M., lui qui aime tellement les lettres qu’il est devenu décorateur textuel
M. dit:
le 25 octobre 2010 à 0 h 10 min
Z, tu es un zéro prétentieux qui, non content d’être incapable d’aligner trois mots correctement orthographiés dans une syntaxe régulière, n’en connait pas non plus le sens. Ne sachant pas écrire, comment saurais-tu penser? A fortiori enseigner? Il n’y a en toi de juste que ton nom, tu n’es rien d’autre que ta propre nullité, ta propre fin.
Quand je parle de masse, je parle de la masse de l’objet, car lorsque je commente, je parle de ce que je vois, au contraire de toi, qui n’est même pas capable de faire la différence entre un blog et un forum. Tu as prétendu partout cesser tes « contributions », et peut-être certains ont pu croire que tes pollutions, souvent nocturnes, allaient cesser. Las! Les voilà reparties à fluer de plus belle.
# Prof Z dit: Votre commentaire est dans l’attente d’une moderation.
le 25 octobre 2010 à 12 h 18 min
L’immediatezza del signo
Tu as raison . Je suis devenu un zéro aux pays des belles lettres… de licenciement et en plus un zero social car j’ai un handicap moteur. Je ne me relis jamais et je ne connais que la syntaxe des moteurs de recherche. Maintenant, je dois marcher le moins possible, presque plus. C’est un revirement car le diagnostic clinique est parfaitement clair. J’ai passé la nuit à préparer les tactiques thérapeutiques car je rencontre cet AM, un grand professeur ….. J’ai été prof de grande et de petite école. Dans la grande , j’enseignais la communication, dans la petite, le marketing .
Le prof d’économie, c’était Lionel Jospin . J’ai travaillé avec les américains et je ne baisse jamais les bras? Cela n’éclaire en rien ta phrase: « Cassina abandonne la masse, mais Lissoni n’abandonne pas les signes de la masse »
Chapa lui est clair.
http://www.dailymotion.com/vid…..oterd_news
La sorprisa del designo industriale….
Faire du design en temps que designer en Europe ou être éditeur ou distributeur de design (souvent ce sont des amateurs de design avec des qualités entrepreneuriales) ou le simple amateur de design( suivant les cas regardeur, utilisateur, acheteur,collectionneur), c’est comprendre l’autre….On ne peu plus être une star à 22 ans C’est cela la surprise du design industriel italien de meuble , mais aussi hollandais, anglais, suédois, espagnol…. et français . On n’est pas des américains… même si on utilise des techniques de communication, de marketing,de management, de consulting, de coaching, de benchmarking, de storytelling, de branding, de co branding, du rapid prototyping….et des quantité de listings….qu’ici beaucoup méprisent plus qu’ils ne maîtrisent. « Le design, ce n’est pas dessiner un objet, c’est avoir une culture d’entreprise, de développement des marchés, une compréhension des choses qu’on ne peut pas avoir en sortant de l’école. Aujourd’hui, le travail de designer, comme celui que je mène chez Hermès, ce n’est pas tellement de dessiner des choses, c’est d’apporter une expertise à une réflexion … » Gabriele Pezzini
http://www.franceculture.com/culture-ac-l%E2%80%99empathie-comprendre-l%E2%80%99autre-l%E2%80%99empathie-comprendre-l%E2%80%99autre-44.html
yatzeropoulos avait fait une interview ( a moins qu’il l’ai lui même faite et envoyé) On n’est jamais aussi bien servi que par soit même….
http://www.yatzer.com/1382_christian_vivanco
The details are details. They make the product. The connections, the connections, the connections. It will in the end be these details that give the product its life.
Charles Eames
@ Jo yana : GOD IS IN DETAILS si tu pouvais faire des très gros plans , ce sera mieux que yatzeropoulos , comme spotd.
http://www.spotd.it/2010/05/detail-love-surfaces.html
Comme je suis passionné par recherche et design sans être doctorant mais en ayant eu des étudiants réels de ce “haut niveau” en école ou en entreprise, je fais actuellement une nouvelle typologie de la profession de designer ou de concepteur de modèle selon la nouvelle classification INSEE,appelation qui plaît tant aux assos de pro et aux pro.. J’ai fait une typologie des intérimaires. et une classification des métiers quand j ‘étais consultant.
Shin Azumi. et Alfredo Haberli par exemple sont, selon moi, des « designers Premium », (une catégorie de designer que je viens d’inventer afin de renouveler la segmentation et/ou la typologie des designers). Je les observe depuis bien longtemps avec bien d’autres… je ne sais si Vivanco est un jeune designer? un designer émergent? un designer inconnu?
Comme je suis conceptologiste, typologiste, modeliste et systemiste, je me demande pourquoi tous ces designers font des projets bi matières depuis quelque temps à Milan et ailleurs…
Avant par exemple un pied de lampe était monomateriau( bois , metal, etc). Or comme nous sommes dans une phase verte et dans une phase de grande concurrence mondiale cela me semble paradoxal . J’ai bespoin de l’avvis des amateurs et des pros