Après nous avoir séduit avec son chandelier XXist, le designer Victor Vetterlein nous présente sa dernière suspension – intitulée STUDY OF LIFE – qui se compose en grande partie de matériaux écologiques et renouvelables…
STUDY OF LIFE est une suspension au design durable !!! La coquille solide et souple est composée de tiges de bambou, de fils à coudre, et colle à bois non-toxique. L’orbe intérieur est fait d’une tige de bambou recouvert de papier avec de la colle non toxique. Seul le cordon d’éclairage et l’ampoule ne sont pas réutilisables… La suspension est entièrement biodégradable après son cycle de vie (STUDY OF LIFE).
La conception de la suspension STUDY OF LIFE est inspiré par les formes du Livre Art Forms in Nature du biologiste allemand Ernst Haeckel. Plus précisément, les inspirations de cette suspension ont été puisées dans plusieurs de ses dessins au crayon, de plantes, d’animaux, et de la vie marine.
À première vue, les tiges de bambou semblent aléatoires dans la configuration, mais en regardant de plus près il y a une répétition des triangles de bambou, placés à des intervalles aléatoires pour former une sphère extérieure…
English version :
STUDY OF LIFE pendant lamp is a sustainable design. The strong and flexible main shell is composed of bamboo sticks, sewing thread, and non-toxic wood glue. The inner orb is made from a bamboo rod encased in paper with non-toxic glue. Except for the lighting cord and fixture that are re-useable, the entire lamp is biodegradable after its life cycle.
The design of STUDY OF LIFE pendant lamp is inspired by the German biologist Ernst Haeckel’s book Art Forms in Nature. More specifically, the lamp references the intricate organic structural systems he so finely captured in many of his pencil drawings of plants, animals, and marine life. At first glance these organic systems seem random in configuration, and upon closer inspection there is great order to them as well. For the STUDY OF LIFE pendant lamp, a repeating order of bamboo triangles is placed at random intervals to form an outer sphere.
STUDY OF LIFEdesign includes the beautiful pre-made spherical form of the bamboo and paper lantern. Unlike a metal wire hoop and paper lantern common today, this lantern is unique because it uses a historical technique to create the circular shape of the orb by spiraling a thin bamboo rod encased in paper the circumference of the lantern. The strength of the design of the STUDY OF LIFEpendant lamp is that it takes an extraordinary lantern design from the past and gives it new meaning by adding the encasing bamboo shell. New beauty is birthed out of opposition of parts-in this case linear versus curvilinear components.
The combination of the bamboo sphere and the internal paper orb that forms the STUDY OF LIFE pendant lamp is mesmerizing. The lamp appears to be a raging cyclone of wood caging the calm form of the paper orb. For a moment, the lamp seems very finite, as though you are looking at a microscopic view of atomic particles. Seconds later, the fixture seems infinite as though one is viewing a far away galaxy. The wood and paper components that form the lamp bring us back to our senses and the nurturing qualities of organic matter.
Chez Deco-Design nous avons une préférence pour la version sans abat-jour en papier…
En savoir + sur Victor VETTERLEIN
Hinomura says
Très graphique !
William T. says
Aggressive beauty.
Steph says
Superbe ! Je préfère la version sans la boule chinoise.
Prof Z says
C’est pour ma maison de Campana verde… une idée lumineuse pour Alberto Alessi , le prince du design management italien ? S’il a besoin de mes lumières , j’en ai plein mes corbeilles à papiers,plein mes cartons de projets éblouissants de “young designers”, d'”emerging designers”…. et même de “jeunes pousses de bambous” qui m’écrivent “merci infiniment de me consacrer votre précieux temps, je suis très honoré “… ça me change des mauvaises notes de prof A , B , C et du zerro de mon decorateur textuel favori , Maurice P.
Je fais actuellement réinstaller mon studio en reprenant la scénographie de Ron Arad au Centre Pompidou avec des tubes de carton et de bambou pour être dans le coût
( Merci Valerie Guillaume)…. avec des tabourets d’Arik Levy/ revues de deco design pour Eno mais pas un One Shot de Patrick Jouin ( 3000 $ pour un seul tabouret, ma femme va divorcer!!!!)…
Assis partout sur un siège de bureau ( qui casse la déco Stefanidis de ma femme) ou sur mon velo d’appart “à fond la forme”, je supervise de loin car je ne peux ni bien marcher le jour, ni bien dormir la nuit….malgré une vingtaine de pilules / jour . J’espère avoir un RV avec un professeur de médecine ou son bras droit ( pas le gauche) ou un bon clinicien mais il faut attendre longtemps : jusqu’à 7 mois pour un bon CHRU. Ensuite je pourrais recevoir tous “mes” “élèves”, “mes” lecteurs, “mes” Zélateurs, “mes” journalistes favoris dont Elodie Palasse, “mes” blogueurs favoris dont Jo Yana et Vincent d’Esprit design ,mon co-professeur belge Olivier C , “mon” distributeur favori Chapa de Bordeaux, de vrais amateurs et de bons pros 10000, 50000 100000 ou +
Prof Z says
Le coût social du bambou c’est socio-style pour être dans le coup ( les chinois ont la matière première, la main d’oeuvre, les designers, 10000 par an)…. il faut s’attendre à un coup de bambou sur le chômage en Europe à cause des écolo bobo dans le coup des tendanseurs de tango parisien qui pense à leurs honoraires avant de penser à l’emprunte carbone globale,à la mort des Panda et des jobs en Europe… mais pensent-ils , ces rois du socio-style et des neologismes abscons? Starck les traite de voleurs…
http://www.google.fr/images?hl=fr&q=campana+bambou&rlz=1B3GGGL_frFR240FR284&um=1&ie=UTF-8&source=og&sa=N&tab=wi
Prof Z says
tendance bambou
http://www.google.fr/images?um=1&hl=fr&rlz=1B3GGGL_frFR240FR284&tbs=isch:1&btnG=Rechercher&aq=f&aqi=&oq=&gs_rfai=&q=tendance%20bambou
Max A says
aah, Starck…
Prof Z says
@Max A si tu vois PS partout, c’est grave. C’est vraiment pas son territoire, son vocabulaire, dans sa grille de lecture du design
Prof Z says
RETHORIQUE PRATIQUE
MES PROFS DE DESIGN
Mon seul vrai prof de design, mon maître c’est Starck… il m’a appris comment se faire voir,comment le produit doit exister, comment partir une intuition,d’une vision, d’une figure de style ( métaphore, oxymore),d’une annonciation, d’une dénoncciation pour batir un projet, comment construire une grille d’évaluation de projet, comment construire un territoire de designer….etc J’ai validé cela en travaillant avec un de ses nombreux bras droit pendant 1 an.
Mon autre prof de design (d’école cette fois), un médiocre ne m’a rien appris sauf à me méfier des profs, des concours car il m’a volé un concept qui avait 5 à 10 ans d’avance pour en faire un best seller, son seul best seller. C’est ce que dénonce le magazine Beaux Arts, le systeme de formation au design et à l’art français….
J’ai fait du coaching distants de designers de pays émergents qui se sont retrouvés 1 an après dans la sélection WALLPAPER GRADUATE. C’était un début. Eux on pensaient que c’était arrivé… Je l’ai donc laissé dans leur « bulle d’irréalité » naviguer de blog en blog…
MON ECOLE DE DESIGN: LE DEFUNT CCI DU CENTRE POMPIDOU
Ma salle d’étude c’était le centre de documentation du CCI
Le Cci, Centre de création industrielle, a été créé au sein de l’Ucad (Union centrale des arts décoratifs) en 1969 par François Mathey et François Barré. Il devient un département du Centre Pompidou en 1973. À la fois centre de documentation et lieu d’exposition, il est pourvu dès son origine d’une mission d’information, d’éducation populaire et de promotion du design. Graphisme, design industriel et architecture sont au centre des préoccupations au travers d’expositions qui portent un regard critique sur la société de consommation et ses signes, sur l’espace urbain et architectural. Il disposait d’environ 4000 mètres carrés avec : une galerie d’actualité et une galerie rétrospective au rez-de-chaussée, une salle d’actualité contenant la documentation « grand public », la bibliothèque spécialisée et la médiathèque, ainsi qu’un service de la documentation qui effectue des recherches à la demande.
CELA N’EXISTE PLUS POUR PERMETTRE DE FAIRE DE L’EVENEMENTIEL AVEC UN ESPACE VIDE AU REZ DE CHAUSSEE DU CENTRE POMPIDOU
Aujourd’hui je reproche à Valerie Guillaume, conservateur du patrimoine au Centre Pompidou,chargé du design et au management du centre Pompidou de ne faire que des expo monographiques ARAD STARCK JOUIN et non THEMATIQUES… comme les musées d’art et de design du monde… C’est il y a eu aussi l’autoglorification du VIA 3.0( sic) et un design au banc, un mini débat qui manque vraiment de souffle…
RETOUR SUR STARCK ET LE CCI: LE SYSTEME DES LISTES
Alberto Alessi Directeur d’Alessi met en place, en 1986, le projet “Solferino” destiné à faire travailler six architectes français. Alexandro Mendini est chargé de faire la liste . Il demande au Directeur du CCI, Francois Burkhardt de la faire Jean Nouvel, Christian de Portzamparc, Sylvain Dubuisson, le groupe Nemo, Charlotte Perriand et ….Philippe Starckqui en sort seul vainqueur alors qu’il n’est pas archi mais archi connu.
A qui poserait aujourd’hui, Alberto Alessi poserait -il la question de la liste des designers français?